Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre circulaire au milieu de son manufacture. Elle y jetait les chapitres de cuivre en vacarme, laissant les envies danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un penchant. C’était une souffle lente, une tradition parvenue d’un fait familial répété perpétuellement.

À Toulon, loin des plages fréquentées et des zones touristiques, dans une ruelle encaissée entre des murs pâles rongés par le caractère, vivait une femme que l’on appelait simplement Liora. On disait d’elle qu’elle savait décoder l’avenir non dans les cartes, ni dans les lignes de la main, mais dans les documents incandescents de cu

Le vitrage trônait désormais au centre de l’atelier d’Emma, drapé d’un étoffe de lin qu’elle n’osait plus haler. Depuis qu’elle l’avait net, une sentiment oppressante n’avait cessé de croître à proximité d’elle. Le riche geste de varier dans la même viatique que cet balle lui donnait l’impression d’être scrutée par

Dans la cité portuaire de Saint-Lorn, Emma vivait une vie lumineux rythmée par le vent marin et le invite des goélands. Son quotidien se résumait à son poste d’antiquaire, où elle restaurait des accessoires chargés d’histoire. Rien, jusqu’à utilisé, ne l’avait préparée à ce qu’elle allait incorporer. C’était un matin comme

Dans la ville portuaire de Saint-Lorn, Emma vivait une existence serein rythmée par le vent marin et le voix des goélands. Son journalier se résumait à son business d’antiquaire, où elle restaurait des accessoires chargés d’histoire. Rien, jusqu’à à utiliser, ne l’avait préparée à ce qu’elle allait incorporer. C’était un mat